C’est pas moi, je le jure!

Au début de l'été 1968, Léon Doré, passe ses vacances dans le bungalow familial, entouré de voisins poches, d'un frère pas cool et de parents plus capables de s'endurer. Alors, après plusieurs tentatives de suicide infructueuses, il utilise par la force des choses, ses dons de menteur professionnel. Comme dit sa mère : « Si tu mens, sois crédible ».

Peu après, Madeleine ne se sentant plus en mesure de continuer cette vie triste et monotone de femme au foyer, elle décide de tout quitter et de partir refaire sa vie en Grèce Après le départ de sa mère, Léon essaye alors de regagner l'amour de son père, mais les moyens qu'il emploie ne sont pas vraiment du goût de tous... En fin de compte, personne ne l'aime. Alors, ce qu'il y a de mieux, c'est de voler quelques dollars, prendre son sac à dos, suivre la carte de Léa et de partir rejoindre Maman sur sa belle île ensoleillée. Car comme il dit si bien Léon : « Qui n'a rien doit tout risquer! »

Source : Charles-Henri Ramond, Films du Québec