Description
Polytechnique raconte l’histoire de la tuerie de l’École polytechnique de Montréal, vécue par deux étudiants, Valérie et Jean-François, dont la vie a basculé après qu’un jeune homme se fut introduit dans l’école afin de tuer le plus de femmes possible avant de se suicider. Le film est basé sur les témoignages des survivants du drame survenu à la Polytechnique.
Bonus
Entretien avec Denis Villeneuve
Galerie photos
Bande-annonce
Presse
« Filmé avec respect et sensibilité, Polytechnique est un film fort qui possède plusieurs plans magnifiques, procurés par une photographie en noir et blanc de premier ordre. » Charles-Henri Ramond, Films du Québec
« Le film ne tombe pas dans le piège de « l’hommage », et n’est pas cette lettre d’excuses aux femmes qu’on appréhendait. Il est plutôt ancré dans le réel, dans la mesure où les émotions dont il est saturé – et qui sont dues à une maîtrise technique du code cinématographique – pourraient s’appliquer à toutes les tueries et à tous les tueurs fous. Il n’y a pas de morts « pires » que d’autres; elles sont toutes d’une grande tristesse et c’est ce que le film, sobre et poignant, parvient à démontrer. » Karl Filion, Cinoche
« Aux va-et-vient cosmiques d’Elephant, où l’orage des scènes d’ouverture et de fermeture métaphorisait la violence, et l’atome la structure éparse faite de croisements, d’accélérés et de ralentis, Polytechnique oppose une logique plus radicale, telle une maladie foudroyante. » Alexandre Jourdain, A voir alire
« Denis Villeneuve base sa mise en scène sur l’imprévisibilité du drame et insiste sur le poids qui pèse sur les survivants. » Jean-Luc Lacuve, Ciné-club de Caen
» Les cadres admirables de Pierre Gill emprisonnent les personnages dans l’engrenage de la tragédie, le travail sonore de Claude Beaugrand densifie l’atmosphère, la fluidité de la mise en scène et la précision du montage s’allient au choix judicieux du noir et blanc pour donner une œuvre obsédante et trouble, aux accents symbolistes, où se crée une tension entre l’abstraction et la représentation qui génère une sorte de malaise physique chez le spectateur. » Marcel Jean, revue 24 images
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