Description
Huit œuvres marquantes et représentatives du jeune cinéma québécois. Fiction, documentaire ou animation, voici les fruits de la vision d’Auteurs parmi les plus intéressants de leur génération.
– À l’ombre. (Simon Lavoie, 20mn)
Une mère, incarcérée depuis peu, refuse que soit rompu le fragile lien qui l’unit encore à son fils.
– Le rouge au sol (Maxime Giroux, 16mn)
Un jeune homme va magasiner avec sa mère le lendemain matin d’une soirée plutôt difficile. Un dialogue inconfortable entre deux générations s’ensuit.
Nomination : Jutra du meilleur court et moyen métrage.
– Les jours (Maxime Giroux)
La mort tragique d’une jeune fille en forêt. Les tourments qui suivent. La vengeance vaine du père. Une rencontre entre le côté sombre de la nature et la précarité de la vie.
Meilleur court-métrage au Festival international du film de Toronto
– L’air de rien (Frédérick Pelletier, 8mn)
La vie de Carl se résume à deux choses : recevoir des coups et s’obstiner malgré tout à mener une existence «normale». Engagé dans l’armée, il espère pouvoir fuir ce quotidien, entre un grand-père silencieux et Cadorette, son ami d’enfance avec qui le dialogue semble impossible. Une nuit, à la suite d’une altercation, Carl et Cadorette ratent le dernier bateau pour rentrer chez eux. Ils décident alors de traverser le fleuve, coûte que coûte…
Finaliste pour le JUTRA du meilleur court-métrage, 2006.
Prix Images-en-vue PCC 2006.
Prix KODAK de la meilleur direction photo, PCC 2006.
– L’hiver longtemps (Frédérick Pelletier, 18mn)
Février 2004. Guy Caron et sa femme Jeanne-d’Arc vivent dans la même maison depuis plus de 50 ans. Marin au long cours, Guy était en mer huit mois pas année, tandis que Jeanne d’Arc restait à la maison pour élever leurs neuf enfants. La vieillesse les a réunis, mais quelque chose de fondamental les sépare depuis toujours. Le réalisateur porte sur ses grands-parents un regard volontairement distant, laissant place à sa quête de sens.
– Encre noire sur fond d’azur (Félix Dufour-Laperrière, 6mn)
Un homme est confronté à l’émergence de l’encre noire.
– Un, deux, trois, crépuscule (Félix Dufour-Laperrière, 16mn)
L’aube, une jeune femme et la fin du jour dans une biographie instable, en trois temps.
– Head (Dominique Étienne Simard et Félix Dufour-Laperrière, 4mn)
Un bref souvenir d’Amérique, réalisé à partir d’images trouvées et retouchées.
Avis
Il n’y a pas encore d’avis.