Crédits Images
© Pierre Gaudard / Collection Cinémathèque québécoise
"Son film tente de nous raconter les aventures (sentimentales!) d’un garçon de la campagne qui vient s’installer dans la métropole. Le film est donc fait de différents évènements qui tissent les déplacements du jeune homme. Récit qui aurait pu être captivant mais qui tourne aux plans interminables et au bavardage. S’il était prometteur de saisir les moments de la vie d’un homme en «exil», il ne fallait pas alourdir au point d’ennuyer le spectateur. Interminable séquence de la conversation dans l’escalier entre le garçon et la serveuse. " Léo Bonneville.
"Michel Brault est un habile directeur de la photographie doublé d’un habile réalisateur, qui sait tirer le maximum de ses interprètes et pour qui la mise en scène ne présente aucune difficulté insurmontable." Office des communications sociales.
"Se questionnant sur les relations entre la tradition et la modernité, comme le faisait aussi Pour la suite du monde, Entre la mer et l’eau douce devient le témoin de son époque et le porteur d’une culture essentiellement québécoise. Cela est possible grâce à l’utilisation que fait Michel Brault de l’esthétique du direct qui permet de documenter l’action et d’ouvrir un drame personnel sur la collectivité." Catherine Ouellet-Cummings.
" Pour Michel Brault, Entre la mer et l’eau douce est, à la fois un départ et une synthèse. Un point de départ parce que ce film est son premier long métrage dont il assume seul toute la réalisation. Mais Entre la mer et l’eau douce est aussi un film de synthèse de ce que Michel Brault, et le cinéma québécois naissant a fait de mieux." Pierre Pageau
Ajouter votre avis