Guilhem Brouillet est un passionné de cinéma. Après un Doctorat en Histoire des médias (Montpellier 3), sa passion pour le documentaire l’a amené à travailler pour les Rencontres internationales du documentaire de Montréal puis à s’investir dans le festival de Lasalle. Devenue sous son impulsion DOC-Cévennes, sa structure a intégré la Cinémathèque du documentaire et a reçu le label France-Québec CNC-SODEC.
Dans le cadre de la programmation de l’essai documentaire 13, un ludodrame sur Walter Benjamin au sein de la sélection d’octobre de notre ciné-club, Guilhem nous a livré son témoignage sur sa découverte du réalisateur Carlos Ferrand.
« J’ai découvert Carlos Ferrand il y a 6 ans, interpelé à Montréal par mon amie réalisatrice québécoise Michka Saäl : « Comment se fait-il que toi qui t’intéresses aux cinéastes documentaristes québécois tu n’aies encore jamais entendu parler de Carlos ? » En rentrant en France, je me suis alors empressé de visionner le DVD du film Americano (2007) qu’elle m’avait gentiment offert. Et là, quel fut mon émerveillement de découvrir, à travers cette œuvre, toute la richesse et la poésie de ce cinéaste, hélas, trop peu montré de ce côté-ci de l’Atlantique ! Dès le festival suivant (DOC-Cévennes 2015), la programmation de ce film servit de prétexte à provoquer la rencontre des Cévennes avec ce grand réalisateur « panaméricain » comme il aime à se définir. » LIRE LA SUITE
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